Bonjour,
Comment faites-vous la différence entre une défaillance moteur, qui plus est liée au turbo, d'une non-linéarité somme toute normale du moteur depuis son ralenti à son régime max ?
A l'arrêt, moteur chaud, espace dégagé et éloigné pour ne pas déranger les voisins, au point mort, appuyer
rapidement sur la pédale d'accélération au moins à mi-course
et s'y maintenir, on sent tout de suite les deux "hoquets".
En roulant, sur voie dégagée en solo, se positionner sur une vitesse mettant le régime moteur à 1400 tours (en DSG, passer en séquentiel) et lacher les gazs, on sent une accélération en accordéon.
La linéarité ne se trouve que sur un moteur atmosphérique, le turbo provoque la non-linéarité car c'est au moment où il se met en marche qu'il y a une relance
mais qu'une seule ... A moins que les calculateurs et ESPs qui équipent dorénavant les moteurs ne se "désynchronisent" ou se déphasent avec la relance du turbo (ce qui serait le comble mais possible !!!).
Hypothèse que j'émets car vécu à l'époque des moteurs sans tout le barda électronique, régulateur, ... mais depuis, l'arrivée de ces systèmes, je suis toujours resté sur de l'atmosphérique sans turbo ...
On ne demande pas à avoir des accélérations de Porsche, Ferrari, ... mais quand on sollicite le moteur, on est pas bien à l'aise quand il y a un "claquage de muscle" en plein élan ..!